Bien des romanciers attesteront qu'écrire est une passion doublée d'une vocation, une activité artistique étroitement liée à un besoin frénétique de lecture. Donner corps à un récit sans voyager soi-même à travers la prose des autres peut paraître chose difficile. Il est possible de nourrir son esprit de bien des manières et les univers de l'imaginaire tiennent en une denrée fort appréciée par beaucoup d'auteurs. La lecture fantastique dépayse, distraie et stimule la créativité au quotidien.
Bien que je m'enferme régulièrement dans ma bulle d'écriture pour insuffler la vie à mes histoires et mes personnages, les avis divers de personnes qui prennent le temps de lire mes récits sont des morceaux de partages toujours bienvenus. Positif, négatif, enthousiaste ou déçu, l'impression d'un lecteur fait toujours figure d'échange privilégié.
Le 1er tome d'Anges d'Apocalypse intitulé Le Tourment des Aurores est un projet de fantasy urbaine qui me tient particulièrement à cœur. Les chroniques et remarques des lecteurs qui prennent le temps de découvrir les aventures de Syldia, mon héroïne maudite par le sort du transfert d'âme, n'en sont que plus précieuses. Les retours après-lecteurs motivent, amène à réfléchir et procurent ainsi de la matière à écrire la suite de la série, au moment où je suis plongé dans les relectures du 2e tome (Le Frisson des Aurores, qui doit parvenir à l'éditeur début juillet 2013 pour une sortie en septembre) et dans la rédaction du tome 3.
Les avis divergent souvent d'un lecteur à l'autre, ce qui représentent leur valeur réelle. Il est possible de consulter une partie des commentaires pour Le Tourment des Aurores en visitant la rubrique de mon blog dédiée aux chroniques d'Anges d'Apocalypse.
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